Descente de l’autre côté avec première vision de la plaine salée
Salinas Grandes, longue étendue de sel
La route pour le sel
Bleu et blanc
Et motos
Le drôle d’oiseau essaye toujours de voler
Un décor de carton pâte
Un grand bonjour de l’équipe
Mmmmm
La chevauchée fantastique
3 motos continuent vers le ciel
Pastos Chicos, le Bagdad Café argentin
Rendez-vous de tous les motards du continent
Piste à nouveau pour atteindre l’altitude record de 4’435 mètres
Volcan et coulée de lave
Coulée de lave relativement fraîche
Tourbière d’altitude, l’eau est partiellement gelée!
Et toujours des vigognes sauvages
Et des élevages de lama
Attention aux flaques
Cérémonie des enfants de l’école de Sey en l’honneur de notre passage
On descend le drapeau en musique
Les dés des géants
Contrastes
La Puna, hauts plateaux
Le viaduc de la Polverila
Qui a inspiré Hergé pour Tintin et le Temple de Soleil
Tintin saute dans la rivière …qui n’existe pas en réalité!
« ENTRE ALTIPLANO ET QUEBRADA Au sud de Tilcara, la belle Purmamarca, située au creux d’une chaîne de montagnes aux couleurs étonnantes, nous accueille pour un café revigorant. Nous mettons le cap à l’ouest vers l’exaltante Cuesta de Lipan et ses beaux virages en épingle. L’arrivée au sommet nous offre un panorama sensationnel ! Il ne nous faudra pas plus de 10km après avoir avalé ces belles courbes pour découvrir l’océan de sel des Salinas Grandes. Et puisque vous en voulez encore, nous partons défier la portion la plus exigeante de la Route 40. Tôle ondulée, nids de poule, bacs à sable… accrochez vous, cette piste rebelle va vous secouer ! Arrivés à San Antonio de los Cobres, le vent glacial et les visages tannés nous rappellent que nous sommes perchés à 3800m au coeur des Andes. Distance: 310 km dont 140 de piste. »
Nuit à près de 3’800 mètres, attention aux maux de têtes.
Au sud de Tilcara, la belle Purmamarca, située au creux d’une chaîne de montagnes aux couleurs étonnantes, nous accueille pour un café revigorant.
Mini Mercedes 
Trop beau ces images, merci de partager ces rêves…
Ce ne sont pas de rêves, juste la réalité argentine